Complexe fusarien du blé : une nouvelle répartition des espèces ?

L’évolution, entre 2007 et 2022, du complexe d’espèces fusariennes responsables de la fusariose de l’épi sur blés tendre et dur en France augure d’une moindre nuisibilité à l’avenir si l’évolution actuelle du climat se poursuit. La répartition des espèces majoritaires sur les grains, et donc des mycotoxines, pourrait aussi changer.

Un épi de blé tendre atteint de fusariose
Si la tendance actuelle se poursuit, les attaques de fusariose de l’épi devraient être moins fréquentes et moins sévères à mesure que le climat s’échauffe. © Arvalis
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