Édito : « De bonnes cartes »
Excès climatiques, fondamentaux de marchés, contraintes réglementaires, pressions sociétales, blocage politique : la liste est longue et il y a parfois de quoi se décourager. Et pourtant…

C’est l’objet de notre dossier : ajuster la lutte contre les maladies. Car selon leurs projections, les rouilles devraient progresser sur blé tendre partout en France, le mildiou et l’alternariose s’intensifier plus précocement sur pommes de terre, sans parler de l’arrivée de nouvelles maladies. Avoir une longueur d’avance permettra d’en réduire les impacts.
Les outils numériques, eux, accélèrent l’identification et la diffusion de solutions concrètes. À lire aussi : même au bureau, la donne évolue, avec la facture numérique.
Autant de signaux qui invitent à l’optimisme. Chaque avancée trace un sillon vers une agriculture plus résiliente et durable, capable à la fois de rémunérer ceux qui la font vivre et d’assurer une alimentation de qualité à ceux qui en bénéficient.
Dans les difficultés, les agriculteurs disposent de bonnes cartes pour s’adapter. Puisse la lecture de ce numéro en apporter la preuve.
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