L’arrêt programmé, cet été, du chlorprophame (CIPC) pour contrôler la germination des tubercules stockés nécessite de revoir plusieurs volets de la conservation des pommes de terre : la dépollution des bâtiments, leur adaptation éventuelle pour mettre en œuvre les produits alternatifs et la prise en main de ces produits, qui ont chacun leurs particularités.
L’épidémie mondiale de CoVid19 a fortement impacté la filière de la pomme de terre. Le confinement a entrainé le stockage durant plusieurs semaines, voire plusieurs mois supplémentaires, de plusieurs centaines de milliers de tonnes de tubercules en raison d’une mise à l’arrêt de nombreuses chaînes de transformation en produits frits.
Par ailleurs, la réduction partielle de...
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