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N°443 - avril 2017

Dossier

Couverts permanents : jouer la carte de la sécurité

Le cycle d’un couvert dit « permanent » chevauche a minima celui d’une culture de vente, l’interculture et le début de la culture suivante. Le terme « semi-­permanent » est parfois utilisé car la présence du couvert dure entre 18 et 36 mois dans la plupart des cas. Plantes de service, les couverts permanents présentent de multiples intérêts agronomiques. Composés de légumineuses, ils améliorent l’autonomie en azote du système de culture. Cette nouvelle pratique implique d’adapter de nombreux éléments pour maîtriser le couvert, de son implantation à sa destruction, en particulier pour éviter tout risque de compétition avec les cultures. Les couverts permanents sont plutôt bien adaptés aux enchaînements de cultures d’automne, comme la succession colza-blé-orge d’hiver. Une culture de printemps sur ces couverts est en revanche beaucoup plus risquée.

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