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N°398 - mars 2013
Dossier
Fertilité chimique des sols : entretenir son patrimoine
Globalement, les sols français ne sont pas en danger sur le plan de leur fertilité chimique. Mais il convient d’être attentif. Cette composante essentielle de la fertilité, qui recouvre le stock de matière organique, l’azote, les disponibilités du phosphore et du potassium ainsi que de l’acidité du sol, doit être surveillée de près : elle interagit étroitement avec les équilibres biologique et physique des sols, tout aussi déterminants. Or elle peut se dégrader sans que l’on y prenne garde. Différents indicateurs permettent de contrôler les niveaux de chacun des éléments qui la composent. Et il existe plusieurs leviers pour intervenir en cas de problème : ils vont de l’apport d’amendement au changement de rotation en passant par les pratiques culturales.
- Dossier fertilité chimique – Interview : la fertilité « indissociable de la production agricole… mais pas seulement »
- Dossier fertilité chimique – Matière organique : un capital à préserver par les pratiques, les rotations et les apports exogènes
- Dossier fertilité chimique – Azote du sol : une minéralisation liée à de multiples facteurs
- Dossier fertilité chimique – Phosphore et potassium : une tendance à la baisse des apports qui ne doit pas encore trop inquiéter.
- Dossier fertilité chimique – Acidification : la gestion de l’azote et le choix des cultures ont un impact important
Qualité
Economie
Cultures
- Couverts intermédiaires : l’azote des légumineuses valorisable par le maïs suivant
- Fertilisation du maïs : localiser l’engrais au semis pour une meilleure vigueur au départ
- Blé dur : des pistes pour améliorer la résistance variétale aux mosaïques
- Tournesol : un semis à 65 000 graines par hectare sécurise rendement et teneur en huile
- Lin : l’absence d’adventices cruciale pour préserver rendement et qualité
- Pommes de terre : les taupins difficiles à contrôler avec les insecticides actuellement en marché